Véronique Laprée, EARL LAPREE

Producteur Véronique Laprée, EARL LAPREE

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1 commentaire Producteur à Meursac (17120) Terroir du producteur : La saintonge romane et la basse saintonge

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Présentation de la société

Véronique vous accueille sur son exploitation viticole ouverte au tourisme rural pour vous faire découvrir son pineau des Charentes, son cognac, son vin de pays charentais et perpétuer ainsi la tradition du terroir charentais.
Ferme viticole située à égale distance de Saintes et de Royan.
La ferme charentaise de Véronique est spécialisée depuis plusieurs générations dans la culture de la vigne et a évolué au fil des années vers l’élaboration et la commercialisation des produits de la ferme.
- Produits de la ferme : Cognac, Pineau des Charentes, vin de pays Charentais.
- Vente sur les marchés.
- Vente par correspondance.
- Ouverture : Tte l’année
- Dégustation gratuite.

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Commentaires

  • laurent denise Image non disponible
    bonjour, les problèmes d'eau n'ont JAMAIS été agricole ... au contraire ! 170 000 m3 d’eau distribués en moyenne chaque jour dans la métropole de Bordeaux ( 62 millions de m3 par an ... c'est 40 fois le barrage de Sivens .... ) , cette eau douce repart dans la mer après traitement (on garde les boues toxiques pour les champs mais pas l'eau propre ...) ! Ils tombent au moins 600 mm de pluie par an sur la métropole de Bordeaux (579km2) soit 300 millions de m3 par an (200 fois le barrage de Sivens) qui repartent à la mer .... Dans la métropole de Bordeaux on a au minimum 362 millions d'eau douce qui rejoint la mer au lieu d'être recyclée ou infiltrée, c'est un million de m3 par jour (un Sivens par jour ... ) . C'est 181 000 hectares de maraichage irrigués l'été uniquement en recyclant les rejets de la métropole, de quoi garantir une production qui dépasse les besoins de la métropole ... mais non tout repart à la mer et on pompe dans les nappes ! Le code de l'environnement impose un traitement et une infiltration de tous les rejets pour ne pas perturber le cycle de rechargement des nappes phréatiques (comme pour les maisons individuelles)... et quand les infiltrations ne sont pas possibles il faut exploiter l'eau pour des usages non domestique comme l'arrosage ! Les rejets en rivières doivent rester exceptionnels pour éviter les pollutions ! Tout est écrit noir sur blanc et depuis longtemps, d'ailleurs toutes les nouvelles zones artificialisées sont aux normes mais les pas les villes ... En nouvelle aquitaine il y a 781 000 hectares artificialisés (toits, béton goudron), avec une pluviométrie moyenne de 700mm par an ça donne 5 milliards de m3 d'eau douce qui n'est ni utilisée ni infiltrée ... c'est 3 fois la consommation TOTALE de toute la région (1,5 milliards de m3 pour l'eau potable, l'industrie et l'agriculture) ! Mais surtout c'est 10 fois plus que les prélèvements agricoles dans les nappes phréatiques .... avec 50% des pluies qui tombent sur les ville de la région on pourrait irriguer la TOTALITE de la surface agricole utile de la région sans prélever une goutte dans les nappes phréatiques ! Des mesures de restrictions d'eau sont mises en place dans 87 départements ... D'année en année le phénomène s'accentue .... sans jamais s'attaquer aux villes qui ne recyclent pas l'eau ! En France la consommation totale d'eau (potable, industrie et agricole) ne représente que 2.5% des pluies annuelles .... on serait capable d'envoyer des sondes sur Mars pour trouver des traces d'eau mais on serait incapable de capter plus de 2.5% des pluies sur terre ???? Les sécheresses n'ont rien à voir avec le réchauffement climatique, c'est une juste une très mauvaise gestion des pluies ... on ne peut pas passer trois saisons à évacuer massivement la pluie vers la mer et prétendre avoir de l'eau l'été ! Les agriculteurs sont les seuls à avoir le bon sens de faire des réserves d'eau l'hiver pour épargner les nappes l'été ... faisons tous des réserves l'hiver, mettons les villes aux normes et on ne parlera plus jamais de restrictions d'eau ... La végétalisation des surfaces (agricoles et urbaines) est indispensable l'été pour réguler le climat et sauver la biodiversité, un sol sec c'est un sol mort (la biodiversité des sols étant à la basse de toutes les chaines alimentaires ça explique une grande partie de l'effondrement) ! Les sols se minéralisent essentiellement par une exposition prolongée au soleil brulant de l'été. Sans végétation vivante l'été les sols se dégradent en libérant du CO2 au lieu d'en capturer ! Notre environnement est vert parce qu'il pleut et il pleut parce que notre environnement est vert : l'évapotranspiration n'est pas un problème c'est même LA solution au dérèglement climatique ... La réciproque est également vraie : le sols sont secs parce qu'il ne pleut pas et il ne pleut pas parce que les sols sont secs ... il ne faut jamais couper le cycle de l'eau (évaporation), c'est notre pompe à eau et notre pompe à chaleur ! Cela peut paraitre paradoxal mais la réduction de 10% par an (depuis 20 ans ...) des surfaces irriguées à contribuer à aggraver fortement le phénomène ! Planter des haies dans les champs est une goutte d'eau dans l'océan, l'ampleur du phénomène est beaucoup trop grande ... il faut une vingtaine d'années pour qu'un arbre commence à être efficace pour le climat ... on sera tous morts avant ! Les surfaces végétales sont les seules surfaces qui ne brûlent pas au soleil, qui ne stockent pas la chaleur , qui pompent du CO2, qui libèrent de l'oxygène, qui entretiennent le cycle de l'eau, qui stockent l'énergie solaire sous forme de biomasse, qui protègent la biodiversité et qui nourrissent la planète … A condition de les maintenir en vie avec de l'eau au moment ou on en a le plus besoin : l'été ... donc en faisant des réserves l'hiver ! Un arbre adulte (feuillus) consomme 500 litres d'eau par jour l'été, soit 5000m3 à l'hectare et par an, soit 500mm de pluie (70% des précipitations) et c'est pour cela que les forets régulent le climat ! Si les forets de conifères brulent trous les étés c'est parce qu'elles évaporent deux fois moins d'eau que les forêts de feuillus donc évacuent deux fois moins de chaleur et ne favorisent pas les pluies. AUCUN champs irrigué ne pourra consommer plus d'eau l'été qu'il n'a laissé infiltrer l'hiver ... l'eau infiltrée est utilisée par les villes, ce qui ne poserait AUCUN problème si cette eau était restituée au champs après traitement ... pour information les boues de stations d'épurations sont épandues dans les champs et l'eau "propre"dans les rivières ... un simple retour de l'eau des villes dans les champs permettrait de diviser par deux les prélèvements dans les nappes phréatiques l'été ... donc de résoudre tous nos problèmes hydrologiques ... pas besoin d'inventer de nouvelles règles, il suffit de faire appliquer le code de l'environnement aux collectivités ... Ce n'est pas la biodiversité qui sauvera le climat mais c'est en sauvant le climat qu'on sauvera la biodiversité ! L'agriculture est la seule activité économique dont le bilan hydrique est positif : elle infiltre plus d'eau dans les nappes phréatiques l'hiver qu'elle ne prélève l'été ! 17 septembre 2019 : 86 départements en restriction d'eau et 209 arrêtés en cours (source propluvia) … Pourtant notre consommation d'eau (potable industrie et agricole) ne représente que 2,5% des pluies annuelles …. Depuis 20 ans on s'inscrit dans une spirale descendante et c'est de pire en pire d'année en année, mais on s'obstine à garder les mêmes modes de gestion qui nous enfoncent ; on va atteindre le point de non retour … Les agences ont adopté une gestion purement administrative de l'eau sans tenir compte du cycle naturel, elles ont placé tous les acteurs (particuliers, agriculteurs et industriels) en tant que consommateurs alors que d'un point de vue climatiques l'impact n'est pas du tout le même … on ne gère pas l'eau comme on gère des paquets de lessive ! Notre modèle climatique c'est la forêt, elle capte 70% des pluies, ce qui veut dire que 70% des pluies servent à entretenir le cycle de l'eau. Pour simplifier : quand vous évaporez 70 litres d'eau vous récupérez 100 litres de pluie. Autrement dit la pluie qui tombe c'est le mélange de 70% d'évaporation continental et 30% d'évaporation en mer. Le bilan hydrique de la végétation est toujours positif, mais il est proportionnel : moins vos plantes vont évaporer d'eau moins vous aurez de pluie … On a besoin de pluie régulière l'été donc il faut une végétation vivante et massive l'été sur un maximum de surfaces (villes et campagnes) . C'est pour cette raison qu'il ne pleut pas au Sahara, mais avant de perdre ses arbres ce désert était une forêt … Voilà exactement ce qui nous attend ! En climatologie une forêt fournit de la pluie alors que pour les agences un arbre consomme de l'eau … Les agences ont présenté les prélèvements d'eau de la façon suivante : 46% pour l'agriculture , 34% pour l'eau potable et 12% pour l'industrie. Présenté comme ça il est évident qu'en cas de manque d'eau on réduit d'abord la part agricole et pourtant c'est exactement ce qu'il ne faut pas faire. D'abord parce que 34+12=46, donc si toute l'eau (potable et industrielle) était recyclée pour l'arrosage (ou ré-infiltrée) on diviserait par deux les prélèvements dans les nappes phréatiques … c'est déjà inscrit dans le code de l'environnement … Ensuite parce que l'irrigation l'été sert à entretenir une végétation vivante qui alimente le cycle de l'eau, donc la part agricole fait partie des 70% « incompressibles ». Donc si on manque d'eau l'été il faut augmenter les surfaces irriguées en faisant des réserves l'hiver et depuis 20 ans on fait exactement le contraire … Et enfin, les sols artificialisées (villes) détournent massivement les pluies vers la mer sans infiltration ou utilisation. Les villes et l'industrie pompent autant que l'agriculture dans les nappes phréatiques sans jamais les alimenter, alors que l'agriculture ne prélèvera jamais plus d'eau qu'elle n'a infiltré (un champs irrigué ne peut pas consommer plus d'eau que la pluie qu'il reçoit annuellement) . L'agriculture est le seul secteur d’activité économique qui a un bilan hydrique positif, le seul capable de nourrir la planète, le seul à se battre pour faire des réserves d'eau l'hiver et le seul à entretenir le cycle de l'eau l'été … Pourtant c'est le seul qui est attaqué massivement par les agences dès qu'il y a des problèmes d'eau ! Cette très mauvaise gestion a des conséquences dramatiques sur le climat et sur la biodiversité, parce que c'est essentiellement le cycle de l'eau qui régule les températures dans les basses couches de l'atmosphère (quand l'eau s'évapore elle absorbe beaucoup d'énergie (entropie) ) et parce que toutes les chaînes alimentaires sont basées sur la biodiversité des sols, un sol sec c'est un sol mort. Et l'été on laisse des millions d'hectares exposés au soleil après les moissons. La PAC impose et finance un couvert végétal pour justement protéger les sols mais on coupe l'eau l'été dans les champs … Un simple retour de l'eau des villes dans les champs résoudrait TOUS nos problèmes sans contrainte supplémentaire pour les consommateurs. Ce n'est pas grave de mettre de l'eau dans les toilettes , ce qui est extrêmement grave c'est de la recycler pour la jeter dans les rivières alors que les campagnes (qui nous nourrissent) sèchent ! Pour les agences l'irrigation est un problème pour le climat c'est la solution ! Si aujourd'hui on reboisait complètement la France il faudrait attendre encore 20 ans pour que les arbres jouent pleinement leur rôle climatique … on sera tous mort avant ! Autre fait aggravant : la destruction des barrages ! Les nappes phréatiques profondes sont alimentées par les nappes superficielles elles mêmes alimentées par les pluies et tous les points d'eau de surface. Les nappes profondes s'épuisent l'été par des prélèvements importants mais surtout par une suppression des eaux de surfaces . On a entrepris un vaste projet de destruction des barrages pour rétablir la continuité biologique des cours d'eau, les bassins versant se vident plus vite, l'eau s'infiltre moins, résultat on a des inondations l'hiver, des rivières sèches l'été et des nappes qui sont moins alimentées … les anciens avaient construit ces retenues justement pour avoir de l'eau … Nous on en manque et on détruit … Toute l'eau qui nous manque l'été est passée par chez nous l'hiver, il suffisait de la retenir … Dans deux ans il sera trop tard, c'est CET HIVER qu'il faut construire des réserves d'eau et de TOUTE URGENCE ! « On ne résout pas les problèmes avec les modes de pensée qui les ont engendrés « Albert Einstein

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