Présentation du produit
Cette grande eau-de-vie a su charmer et conquérir le monde entier. Granulé subtil, bouquet puissant et moelleux, la poire est trentenaire. Toujours très fragile, elle est recueillie avec d´infinies précautions, elle est récoltée « tournante », juteuse à point.
L´eau-de-vie de poires vieillit en bonbonnes, au gré de l´homme, maître du temps, préservant sa pureté et la brillance de sa robe. Toute sa délicatese prend corps; fraîche, dans un verre bien frappé, l´eau-de-vie de poires restitue les saveurs délicates et subtiles du fruit, elle exprime avec talent la richesse de ses terres d´origine.
Elle est la quintessence du fruit dont elle garde précieusement les arômes. La délicatesse des parfums pour recueillir du fruit ses effluves et ses essences qui en font une eau de vie d’une incomparable qualité tirée à 50 degrés pour préserver son identité.
La Poire a une belle robe translucide et des reflets cristallins. Un très joli nez de poires William, mais aussi d’autres comme la Louise-bonne, la Passe Crassane,…
Constance aromatique dans la finesse, enveloppée d’une exquise saveur de poires pulpeuses et granuleuses bien mûres. Bouche mariant puissance et expression.
Dégustation : fraîche, 3°C environ
Contenance : 700.00 ml
Volume : 50.00°
A propos du producteur
Domaine Du Bollenberg
Producteur
à
Westhalten (68250)
dans le terroir
Le Grand Ried
Jusqu’en 1632, le Bollenberg appartenait aux Seigneurs de Bollwiller. Ceux-ci prétendaient faire remonter leur origine à un château qui aurait existé sur cette colline. Fondé en 1887, le domaine Hartmann du Bollenberg prend le nom de « Clos Sainte Apolline » comme en témoigne l’acte du tribunal cantonal de Rouffach. L’effigie de Sainte Apolline apparaît sur toutes les étiquettes sortant des caves du Domaine du Bollenberg : « Crus du Clos Sainte-Apolline ». Il est paradoxal que cette colline, placée sous la protection de Sainte-Apolline, garde plus de nos jours le souvenir des « sorcières » et du « feu des sorcières ». La « chapelle des sorcières » est toujours présente sur la colline ainsi qu’une réminiscence du culte du feu dans la tradition populaire. C’est en 1945 que Eugène et Madeleine Meyer ont succédé et exploité le Clos Sainte-Apolline Bollenberg soutenus par de fidèles collaborateurs, François Xavier Schlienger et Joseph Hoffmeyer. En 1981, les enfants Meyer ont repris l’affaire familial : * Antoine et Damien pour l’exploitation agricole et viticole ainsi que la distillation * Blaise, Gabriel et Marie-Josée pour le restaurant * Marie-Madeleine pour l’hôtel * Pierre pour la gestion administrative et commerciale * Sans oublier les petits-enfants qui sont rentrés dans le groupe
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